Départ de l’aéroport de Lyon vers 8h00, on transit à Milan, après 35 minutes de vol.
Puis on se retrouve dans un Boeing ancienne génération : pas de petite télé, écouteurs HS : ce qu’on peut être matérialiste… mais ça ne rassure pas sur l’état de l’avion.
Après 8h00 de vol, notre avion tourne autour de Delhi pendant 45 min : trafic aérien saturé. On arrive à 23h15. Les formalités VISA sont rapides. On retire des Roupies, avec plein de curieux à la porte qui regardent ce que l’on fait. Un garde armée est assis à l’entrée.
Averti sur les méthodes des taxis (vol, commission, arnaque), on fait ce que l’on peut pour contourner, éviter et se débarrasse des rabatteurs. On décide de prendre un prépayé : 280 RPS. On paye à un monsieur dans une guitoune, qui a du mal à nous comprendre, puis on part à la recherche de notre taxi : nous n’avons que la plaque d’immatriculation : n°5326(86) et devant nous une cinquantaine de taxis attendent dans le désordre.
Ce sont deux jeunes qui ne connaissent pas l’hôtel mais disent se repérer avec le plan. Ils nous font tourner pendant 1 heure dans des quartiers glauque, nous conduisent dans des hôtels affirmant que c’est le notre.
On se retrouve dans un soit disant office du tourisme officiel ouvert à 1h00 du mat. Il faut savoir qu’à Delhi, une des astuces des taxis est de dire qu’il ne trouve pas notre hôtel, de nous en proposer d’autre avec une commission à la clefs pour eux, ou de nous emmener dans un faux office du tourisme qui fait semblant de téléphoner à notre hôtel, et surprise ! Il est complet alors ils nous redirigent vers un autre hôtel, hors de prix, pour lesquels il y aura bakchich. Et c’est exactement ce qui c’est passé. On retourne dans le taxi énervé, on refait un tour pendant encore 1 h 00 : ils nous reproposent des hôtels à 1600 RPS.
A 2 h 00 du matin, désespéré on lui demande qu’ils nous laissent à la gare ferroviaire de New Delhi, et on continu à pied avec notre carte. On arrive dans une ruelle ou un policier tabasse un homme qui est à terre (coup de pied et de matraque), on continue notre route en évitant de regarder, et pas rassuré. Et là… miracle on tombe sur une étudiante asiatique qui a séjourné dans l’hôtel : sans elle on ne l’aurait jamais trouvé. Il faut passer dans de minuscule ruelle sombre. La photo de la ruelle à été prise en journée alors imaginez la nuit!!!!
Quand on arrive il est 2h00 du matin, avec bien 1h00 de retard, le gérant de l’hôtel « Smil Inn » confirme qu’il n’a pas eu de coup de téléphone de notre part, qu’il a bien gardé notre chambre jusqu’à 1h00 après l’heure de réservation mais qu’il l’a loué il y a 20 mn. Il nous propose l’hôtel en face (my hotel), moins bien mais la nuit prochaine on rejoint le sien. Quand on arrive dans le hall : une dizaine de personnes dorment par terre, les chambres sont pitoyables, les sanitaires horribles : on dort dans les sacs à viande.
Dernière pensée de Maryline : On rentre … bon, on attend de voir demain.
Puis on se retrouve dans un Boeing ancienne génération : pas de petite télé, écouteurs HS : ce qu’on peut être matérialiste… mais ça ne rassure pas sur l’état de l’avion.
Après 8h00 de vol, notre avion tourne autour de Delhi pendant 45 min : trafic aérien saturé. On arrive à 23h15. Les formalités VISA sont rapides. On retire des Roupies, avec plein de curieux à la porte qui regardent ce que l’on fait. Un garde armée est assis à l’entrée.
Averti sur les méthodes des taxis (vol, commission, arnaque), on fait ce que l’on peut pour contourner, éviter et se débarrasse des rabatteurs. On décide de prendre un prépayé : 280 RPS. On paye à un monsieur dans une guitoune, qui a du mal à nous comprendre, puis on part à la recherche de notre taxi : nous n’avons que la plaque d’immatriculation : n°5326(86) et devant nous une cinquantaine de taxis attendent dans le désordre.
Ce sont deux jeunes qui ne connaissent pas l’hôtel mais disent se repérer avec le plan. Ils nous font tourner pendant 1 heure dans des quartiers glauque, nous conduisent dans des hôtels affirmant que c’est le notre.
On se retrouve dans un soit disant office du tourisme officiel ouvert à 1h00 du mat. Il faut savoir qu’à Delhi, une des astuces des taxis est de dire qu’il ne trouve pas notre hôtel, de nous en proposer d’autre avec une commission à la clefs pour eux, ou de nous emmener dans un faux office du tourisme qui fait semblant de téléphoner à notre hôtel, et surprise ! Il est complet alors ils nous redirigent vers un autre hôtel, hors de prix, pour lesquels il y aura bakchich. Et c’est exactement ce qui c’est passé. On retourne dans le taxi énervé, on refait un tour pendant encore 1 h 00 : ils nous reproposent des hôtels à 1600 RPS.
A 2 h 00 du matin, désespéré on lui demande qu’ils nous laissent à la gare ferroviaire de New Delhi, et on continu à pied avec notre carte. On arrive dans une ruelle ou un policier tabasse un homme qui est à terre (coup de pied et de matraque), on continue notre route en évitant de regarder, et pas rassuré. Et là… miracle on tombe sur une étudiante asiatique qui a séjourné dans l’hôtel : sans elle on ne l’aurait jamais trouvé. Il faut passer dans de minuscule ruelle sombre. La photo de la ruelle à été prise en journée alors imaginez la nuit!!!!
Quand on arrive il est 2h00 du matin, avec bien 1h00 de retard, le gérant de l’hôtel « Smil Inn » confirme qu’il n’a pas eu de coup de téléphone de notre part, qu’il a bien gardé notre chambre jusqu’à 1h00 après l’heure de réservation mais qu’il l’a loué il y a 20 mn. Il nous propose l’hôtel en face (my hotel), moins bien mais la nuit prochaine on rejoint le sien. Quand on arrive dans le hall : une dizaine de personnes dorment par terre, les chambres sont pitoyables, les sanitaires horribles : on dort dans les sacs à viande.
Dernière pensée de Maryline : On rentre … bon, on attend de voir demain.